Trois journées de débats, de rencontres et de présentations de projets au festival de Nantes.
Parmi les rencontres d’intérêt général qui seront proposées aux professionnel/le/s les 29, 30, et 31 mars :
Mercredi 29 :
A 10h00 : Rencontre Sacem. Jeune public et formation des créateurs, des musiciens et des danseurs.
A 11h00 : Point infos sur les projets de Scènes d’enfance – Assitej France à l’international
Au Château des Ducs de Bretagne
A 16h00 : Rencontre avec la délégation des professionnels brésiliens
A 17h00 : Rencontre avec la délégation des professionnels québécois
Jeudi 30 :
A 10h30 : Forum d’interpellation des candidats à l’Élection Présidentielle 2017.
Rencontre organisée par Scènes d’enfance – Assitej France et d’autres associations professionnelles représentatives.
Centre Chorégraphique National de Nantes – CCNN
A 14h30 : Rencontre Sacem. Artistes, tourneurs, programmateurs : quelles nouvelles collaborations dans le secteur jeune public ?
A 14h30 : Dispute artistique « La représentation de la guerre et l’exil dans le théâtre jeune public ».
Préparée et animée par Annabelle Sergent, avec Cécile El Medhi, Françoise Heulot-Petit, Estelle Savasta et Catherine Verlaguet.
“Les textes sur la guerre et l’exil à destination de la jeunesse portent des écritures fortes, engagées ; et posent question sur ce qui est dit ou pas de l’état du monde à la jeunesse. De Croisades, de Michel Azama, au Bruit des os qui craquent, de Suzanne Lebeau, le théâtre qui met en scène des enfants pris dans les conflits n’en finit pas d’interroger la place du spectateur : comment parler de la brutalité du monde à la jeunesse, comment écrire et représenter ce qui nous touche de la violence des conflits ?”
A 18h30 : Lectures de textes par les élèves du Conservatoire de Nantes. Avec Luc Tartar.
Vendredi 31 :
10h00 : Acteurs du jeune public en 2017 : le sens de nos métiers.
“Pourquoi s’être engagé dans cette profession ? Comment s’exprime aujourd’hui le “militantisme” ? Quelles sont vos difficultés ? Vos rêves ? Comment imaginez vous l’avenir de ces métiers, leur place dans les politiques culturelles ?”